CONSEIL. Ce post est pour ceux qui ont entrepris… et qui sont revenus au salariat.
Pas par échec.
Pas par dégoût.
Par clarté.
Parce qu’ils ont essayé.
Parce qu’ils ont appris.
Et parce qu’ils ont choisi en conscience.
On glorifie souvent ceux qui se lancent.
Mais on oublie que tenir, ajuster, ou même changer de cap… demande tout autant de courage.
L’entrepreneuriat n’est pas un graal.
Le salariat n’est pas une prison.
Ce sont deux chemins.
Deux manières de vivre son ambition.
Deux manières d’apprendre, de se connaître, de contribuer.
Parfois, entreprendre aide à mieux se situer.
À tester ses limites.
À se recentrer.
Et parfois, c’est dans un cadre salarié qu’on déploie pleinement son potentiel.
L’important, ce n’est pas le statut.
C’est la lucidité.
La liberté intérieure.
Et l’alignement avec ce qu’on veut vraiment.
Ces parcours hybrides, mouvants, complexes… on les raconte peu.
Et pourtant, ce sont souvent les plus riches en enseignements.
Apprenons à valoriser tous les chemins, même ceux qui ne rentrent dans aucune case.
Par Saran D
Farafinainfo à l’honneur : Le journaliste Chahreddine Berriah, lauréat
