#Senegal – A dire vrai, la situation politique du Sénégal évolue dans un sens de clarification des objectifs des uns et des autres.
L’opposition de prédation des ressources publiques dont l’APR est le centre de gravité, tente de se reconstituer, effrayée par la reddition des comptes menée par le régime.
La reddition des comptes ne saurait être abandonnée ou adoucie, c’est un impératif. Elle doit être juste, efficace et impersonnelle.
Pour le reste, et les problèmes économiques en particulier, il faut rappeler qu’on a l’économie de ses institutions. Le cadre institutionnel actuel est issu de la constitution de 2001; il a produit une économie qui peut au plus créer 30 000 emplois par an pour 300 000 demandeurs. Macky Sall en a fait la démonstration. Le peuple s’est débarrassé de lui et de son régime, en mettant le Pastef au pouvoir. Le Pastef s’est engagé dans la voie de la transformation du Sénégal. C’est rassurant et c’est une bonne chose.
Alors pour la transformation du Sénégal, il faut passer à une nouvelle république, une nouvelle constitution. La constitution de 2001 a ouvert la voie à l’économie de prédation. La nouvelle constitution va ouvrir la voie à l’industrialisation de l’économie, passage obligé pour les emplois et pour la réduction des inégalités territoriales. C’est tout le sens de la charte de gouvernance démocratique des Assises nationales.
Bon Tera meeting Président Ousmane SONKO
Par Mamadou Lamine Diallo
Farafinainfo à l’honneur : Le journaliste Chahreddine Berriah, lauréat
