Tranche de vie (en ce temps de confinement) – Les rues et ruelles de Nouadhibou sont désertes depuis des heures disons que les routes commencent à se vider des hommes, femmes et enfants de cette ville et capitale économique de la Mauritanie à partir de 17 heures.
Seuls les hommes en tenue – pour ainsi dire les policiers, gendarmes et autres gardes – sont visibles sur les différentes routes de la ville.
Les uns et les autres veillent au respect scrupuleux du couvre-feu décrété par les autorités mauritaniennes. Et apparemment, ils ne rencontrent pas trop de difficultés.
Autant dire que les Stéphanois sont respectueux des horaires et règles de ce couvre-feu, parce que ces hommes, femmes et enfants restent confinés dans des maisons à regarder la télévision ou/et à faire du thé.
Lala Aicha Housseine Camara