NOUAKCHOTT – L’Association des femmes cheffes de famille (AFCF) demande aux autorités d’apaiser la situation que connait l’entourage de l’ancien président M. Mohamed Ould Abdel Aziz tout en mettant fin à la répression aux violations de ses droits aux libertés qui ne sont jamais la meilleure solution.
Bonsoir La répression que connaissent certaines de l’entourage de l’ancien président inquiète profondément notre organisation de défense des droits humains et de ce fait nous exhortons les autorités à respecter l’esprit des conventions et déclarations relatives au respect des droits humains ratifiées par la République Islamique de Mauritanie.
L’AFCF signale que la dignité humaine de toute personne qu’elle soit libre ou détenue doit être respectée selon la loi et suivant les conventions internationales.
Quelque soit l’accusation portée ou le crime commis par M. Mohamed Ould Abdel Aziz, il a des droits qui doivent être respectés et surtout ceux d’un prisonnier malade. Là, l’AFCF rappelle le respect des droits des détenus à des soins appropriés, à écouter les informations et à la lecture. Ceci dit que l’ex-président malade ou en convalescence à droit de recevoir des visites et de ne pas être inquiété ses parents déjà affectés par sa maladie.
Par la suite, l’AFCF dénonce vigoureusement la violente répression qui s’est abattue sur les femmes et les proches de l’ancien président devant le centre national de cardiologie, alors, qu’ils étaient en sit-in pacifique pour exprimer leur soutien et demander son évacuation.
Une fois de plus, l’AFCF, rappelle que la constitution de la République Islamique de Mauritanie garantit la liberté d’expression et de manifestat
L’AFCF dénonce le non-respect des droits de l’ancien président
L’Association des femmes cheffes de famille (AFCF) demande aux autorités d’apaiser la situation que connait l’ancien président M. Mohamed Ould Abdel Aziz tout en mettant fin aux violations de ses droits.
La situation que connaît l’ancien président inquiète profondément notre organisation de défense des droits humains et de ce fait nous prions les autorités à respecter toutes les conventions et déclarations relatives au respect des droits humains ratifiées par la République Islamique de Mauritanie.
L’AFCF signale que la dignité humaine de toute personne qu’elle soit libre ou détenue doit être respectée selon la Charia et suivant les conventions internationales.
Quelque soit l’accusation portée contre M. Mohamed Ould Abdel Aziz, il a droit à être respecté et surtout qu’il est malade. Là, l’AFCF rappelle le respect des droits des détenus. Ceci dit que l’ex-président malade ou en convalescence à droit de recevoir des visites et de ne pas être inquiété.
Par la suite, l’AFCF dénonce vigoureusement la violente répression qui s’est abattue sur les femmes et les proches et de l’ancien président devant le centre national de cardiologie, alors, qu’ils étaient en sit-in pacifique, appelle à la tolérance et au retenu.
Une fois de plus, l’AFCF, rappelle que la constitution de la République Islamique de Mauritanie garantit la liberté d’expression et de manifester.
Nouakchott, le 11 janvier 2022
La Présidente Me Aminetou Mint MOKHTARion.