Comme les Présidents Colonel Moussa Traore du Mali, Laurent Gbagbo de Côte d’Ivoire, Mathieu Kérékou du Benin, Alpha Condé de Guinée, General Ahmadou Haya Sanogo du Mali, compléter la liste, suivant un schéma classique, le Président Moussa Dadis Camara bénéficia de plein droit de la clémence de son frère d’arme le Président GMD (Général Mamadi Doumbouya).
Les loups ne se mangent pas entre eux. Et, la place d’un ancien Président de la République n’est pas le cachot car lui n’est plus de sa fonction un élément statistique, il est l’incarnation d’un idéal ou des idéaux communs. Maintenant, le problème c’est nous (bas peuple !) Incapables de tirer des leçons en faisant tout pour ne pas être des tristes éléments ou individus qui viennent constituer le chiffre ou le décompte macabre juste souvent évoqué pour légitime une simple revendication politique politicienne.
La politique, c’est pour les vivants, nos leaders préservent jalousement leur vie faisons en autant pour la nôtre ! Cherchons à être des héros et non des martyrs car quoiqu’on dise ou qu’on fasse, les absents ont toujours !
Longue vie et bonne santé au Président Moussa Dadis Camara qui a destin à certain moment été très dur vis-à-vis de lui. Mais la loi de sélection naturelle ne retient que ceux qui survivent aux dures épreuves de la vie. *
Nous retenons de lui, un homme béni et protéger de Dieu car il survécu d’épreuves les plus périlleuses : Un tireur des plus aguerris qui ne puis l’atteindre par balle réelle à quelques microns, d’avoir vaincu un AVC dont les séquelles se font peut sentir au regard de sa fougue habituelle au fameux procès des douloureux événements du 28 septembre 2009, qui n’a pas encore connu son épilogue. Que dire de cette longue traversée du désert avec ce long exil burkinabé ?
Aujourd’hui encore, c’est une autre étape de franchie, la fin d’un bagne où on a cohabité avec les plus grands hors-la-loi du pays ou rebuts sociaux. Un séjour carcéral où il affronta comme beaucoup de pensionnaires du célèbre pénitencier du nom du quartier Conronthie (quartier populeux de la presqu’île de Kaloum centre-ville de Conakry) à l’explosion des bacs à carburant du principal site de dépôt des Hydrocarbures de Conakry !
Qui vivra verra, en attendant, nous implorons Dieu pour le repos des âmes des disparus du 28 septembre 2009, prompte rétablissement à celles et ceux qui souffrent le martyr dans leur chaire, plus de chance à ceux qui ont perdu des biens dans ces périodes de spasmes collectifs.
Pour le moment, c’est la vie qui est célébrée car c’est elle qui est sacrée.
Bon vent à mon Président Capitaine Moussa Dadis CAMARA, le « MIRACULÉ DE KOULÉ ».
Souleymane Doumbouya
Farafinainfo à l’honneur : Le journaliste Chahreddine Berriah, lauréat