Ce Livre, « Les Maîtres du Monde », est dirigé par un Français, Pascal Boniface, bien connu du monde de la géopolitique et Directeur de L’IRIS. Dans ce livre, il cite Ousmane Sonko parmi les « Vingt Maîtres du Monde » et explique pourquoi ce choix.
Cette nouvelle, dont nous devrions être fiers, est royalement ignorée par la presse et une certaine société civile. Et si, au contraire, il était cité dans le même livre parmi les plus perturbateurs, les plus populistes, les plus . . . . . ., les plus . . .., nombre de nos quotidiens s’empresseraient de faire de cette nouvelle leur « Une », comme trois ou quatre télévisions ou radios bien connues inviteraient avec le même empressement un Abdou Nguer, pour commenter cette très bonne nouvelle pour eux. Des « chroniqueurs » bien connus en feraient leur thème privilégié et en profiteraient, comme ils le font tous les jours, pour traiter Ousmane Sonko de tous les noms d’oiseaux, sans que le CNRA et les magistrats du Pôle judiciaire financier ne lèvent le plus petit doigt. Ousmane Sonko vit exactement ou presque, ce qu’il vivait avant le 2 avril 2024.
C’est cela l’image du Sénégal que nous vivons depuis cette date : Ousmane Sonko, encore Ousmane Sonko, toujours Ousmane Sonko qui supporte de façon impunie les injures les plus indécentes.
Cette situation est difficilement supportable pour quelqu’un qui est quand même Premier ministre et père de famille.
Et il suffit qu’il ouvre la bouche pour que tout le monde, du moins tous et toutes celles que l’on appelle les CULUNAS (y compris les « chroniqueurs ») lui tombent rageusement dessus avec les mêmes propos, des propos encore plus injurieux, et sans courir aucun risque. Cette situation ne peut quand même pas continuer. Ousmane Sonko nit rek la. Il ne peut quand même pas continuer de tout supporter, comme si le Sénégal était un pays sans justice.
Doyen Mody Niang
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