Il ne se passe pas un seul jour sans que Alphonse Charles Wright (Sekou Koundouno)

Un ministre de la Justice qui invoque à tout bout de champ la loi, doit être un modèle dans le respect de la loi. Depuis sa nomination à la tête du département hautement important de la Justice, il ne se passe pas un seul jour sans que Alphonse Charles Wright n’invoque la loi. Mais apparemment, cela ne vaut que pour les autres. 𝗟𝘂𝗶, 𝗶𝗹 𝗻’𝗮 𝗰𝘂𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗹𝗼𝗶. 𝗖’𝗲𝘀𝘁 𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝘀𝗲𝗺𝗯𝗹𝗲 𝘀𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗶𝗿𝗺𝗲𝗿 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹’𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗮𝗶𝗻 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲𝘀𝘁𝗶𝗻𝗲́ 𝗮̀ 𝗿𝗲𝗰𝗿𝘂𝘁𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂𝘅 𝗺𝗮𝗴𝗶𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝘀. 𝗣𝗮𝗿𝗺𝗶 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁 𝗮̀ 𝗰𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀, 𝗶𝗹 𝘆 𝗮 𝘂𝗻𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗱𝗶𝗽𝗹𝗼̂𝗺𝗲 𝗲𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱’𝗮̂𝗴𝗲 : 𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝘁𝗶𝘁𝘂𝗹𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗱’𝘂𝗻 𝗺𝗮𝘀𝘁𝗲𝗿 𝟮 𝗲𝘁 𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗮̂𝗴𝗲́ 𝗱𝗲 𝟯𝟱 𝗮𝗻𝘀 𝗮𝘂 𝗽𝗹𝘂𝘀.

Mais Alphonse Charles Wright est déterminé à violer allègrement ces conditions dans l’unique but de favoriser ses camarades de la 44ème promotion de la Faculté de droit de Sonfonia. Ces derniers sont pour la plupart titulaires d’une maîtrise en droit et âgés de plus de 35 ans. Parmi ces derniers, il y a des quadragénaires et même des quinquagénaires. Il est donc inadmissible qu’ils puissent se porter candidats pour passer le concours de recrutement des auditeurs de justice c’est-à-dire les futurs magistrats. Dans tous les cas, Alphonse Charles Wright ne serait à son premier acte dans le népotisme.

𝗘𝗻 𝗲𝗳𝗳𝗲𝘁, 𝗹𝗼𝗿𝘀𝗾𝘂’𝗶𝗹 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗻𝗼𝗺𝗺𝗲́ 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗝𝘂𝘀𝘁𝗶𝗰𝗲, 𝗶𝗹 𝗮 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗳𝗮𝗶𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗻𝗼𝗺𝗺𝗲𝗿 𝗮̀ 𝘀𝗮 𝗽𝗹𝗮𝗰𝗲 𝘂𝗻 𝗱𝗲 𝘀𝗲𝘀 𝗰𝗮𝗺𝗮𝗿𝗮𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗺𝗼𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗳𝗼𝗻𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗰𝘂𝗿𝗲𝘂𝗿 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗽𝗿𝗲̀𝘀 𝗹𝗮 𝗖𝗼𝘂𝗿 𝗱’𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗱𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗮𝗸𝗿𝘆. 𝗔𝗹𝗼𝗿𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲 𝗱𝗲𝗿𝗻𝗶𝗲𝗿 𝗻’𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗹𝗲 𝗺𝗶𝗲𝘂𝘅 𝗽𝗹𝗮𝗰𝗲́ 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗼𝗰𝗰𝘂𝗽𝗲𝗿 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗳𝗼𝗻𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻. 𝗖’𝗲𝘀𝘁 𝗰𝗲 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝗽𝗮𝗿𝗹𝗲 𝗮̀ 𝗹𝗼𝗻𝗴𝘂𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗷𝗼𝘂𝗿𝗻𝗲́𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗲́𝗴𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́, 𝗱𝗲 𝗺𝗼𝗿𝗮𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗱’𝗲𝘅𝗲𝗺𝗽𝗹𝗮𝗿𝗶𝘁𝗲́. 𝗖’𝗲𝘀𝘁 𝗱’𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝘂𝗻 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘆𝗺𝗽𝘁𝗼𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗴𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗻𝗲́𝗯𝘂𝗹𝗲𝘂𝘀𝗲 𝗖𝗡𝗥𝗗. 𝗗𝗲𝘀 𝗴𝗲𝗻𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝗽𝗮𝗿𝗹𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗯𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗴𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗮𝗻𝗰𝗲, 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗱𝗲𝘃𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́, 𝗱𝗲 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗮𝘂𝘅 𝗮𝗻𝘁𝗶𝗽𝗼𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝘃𝗮𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗾𝘂’𝗶𝗹𝘀 𝗽𝗿𝗼̂𝗻𝗲𝗻𝘁. 𝗠𝗮𝗺𝗮𝗱𝗶 𝗗𝗼𝘂𝗺𝗯𝗼𝘂𝘆𝗮 𝗾𝘂𝗶 𝗮𝗿𝗿𝗲̂𝘁𝗲 𝗲𝘁 𝗲𝗺𝗽𝗿𝗶𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗮̀ 𝘁𝗼𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗯𝗿𝗮𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗰𝗼𝗿𝗿𝘂𝗽𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗲𝗻𝗿𝗶𝗰𝗵𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗶𝗹𝗹𝗶𝗰𝗶𝘁𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲́𝘁𝗼𝘂𝗿𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗳𝗼𝗻𝗱𝘀 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰𝘀, 𝗻𝗲 𝘀𝗲 𝗴𝗲̂𝗻𝗲 𝗰𝗲𝗽𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗱𝗲 𝘀’𝗼𝗳𝗳𝗿𝗶𝗿 𝘂𝗻 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗮𝗶𝗻 𝗱𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀𝗶𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗺𝗲̀𝘁𝗿𝗲𝘀- 𝗰𝗮𝗿𝗿𝗲́𝘀 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗠𝗶𝗻𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝘂𝗻 𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲 𝗮̀ 𝗞𝗮𝗸𝗶𝗺𝗯𝗼. 𝗟𝗲 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗮𝗰𝗵𝗲𝘁𝗲́ 𝗮̀ 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗮𝗿𝗱𝘀 𝗱𝗲 𝗳𝗿𝗮𝗻𝗰𝘀 𝗴𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲𝗻𝘀. 𝗖𝗲 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗿𝗶𝗲𝗻 𝗾𝘂𝗲 𝘀𝗲𝘀 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗹𝘂𝗶-𝗺𝗲̂𝗺𝗲 𝗿𝗲𝗰𝗵𝗶𝗴𝗻𝗲𝗻𝘁 𝗮̀ 𝗱𝗲́𝗰𝗹𝗮𝗿𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗯𝗶𝗲𝗻𝘀.Et ce n’est pas non plus pour rien qu’ils mettent en place toutes les stratégies imaginables pour conserver le pouvoir. Ils savent en effet qu’avec l’arrivée au pouvoir de dirigeants démocratiquement élus, ils rendront compte de leur gestion marquée par la prédation et l’accaparement des biens publics.

𝗣𝗮𝗿 𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀, 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗮𝗿𝗰𝗵𝗲́𝘀 𝗱𝗲 𝗴𝗿𝗲́ 𝗮̀ 𝗴𝗿𝗲́ 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘃𝗲𝗻𝘂𝘀 𝗹𝗮 𝗿𝗲̀𝗴𝗹𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗴𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗖𝗡𝗥𝗗. 𝗜𝗹 𝗻𝗲 𝘀’𝗮𝗴𝗶𝘁 𝗻𝗶 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗻𝗶 𝗺𝗼𝗶𝗻𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝗱’𝘂𝗻 𝗺𝗼𝘆𝗲𝗻 𝗱𝗲𝘀𝘁𝗶𝗻𝗲́ 𝗮̀ 𝗽𝗿𝗶𝘃𝗶𝗹𝗲́𝗴𝗶𝗲𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗮𝗺𝗶𝘀, 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗼𝗰𝘁𝗿𝗼𝘆𝗮𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗮𝗿𝗰𝗵𝗲́𝘀 𝗱𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀𝗶𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗮𝗿𝗱𝘀. 𝗟𝗮̀ 𝗮𝘂𝘀𝘀𝗶, 𝗹𝗲𝘀 𝗴𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲𝗻𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝘃𝗶𝗴𝗶𝗹𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝗺𝗮𝗻𝗱𝗲𝗿𝗼𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗽𝘁𝗲𝘀.

Lorsque des guinéens se focalisent sur une montre de près de 4 milliards de francs guinéens, ils perdent de vue qu’il y a des transactions, des dossiers qui se chiffrent en millions de dollars. Mamadi Doumbouya et sa clique s’imaginent que personne n’est au courant de leurs  » affaires « . 𝗖’𝗲𝘀𝘁 𝗹’𝗼𝗰𝗰𝗮𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱’𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗽𝗲𝗹𝗹𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗻𝗼𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝗹𝗲𝘀 𝗮𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗮̀ 𝗿𝗲́𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗶𝗺𝗺𝗼𝗯𝗶𝗹𝗶𝗲̀𝗿𝗲𝘀 𝗳𝗿𝗮𝘂𝗱𝘂𝗹𝗲𝘂𝘀𝗲𝘀. 𝗜𝗹𝘀 𝘀𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘂𝘅-𝗺𝗲̂𝗺𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗹𝗶𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘀𝗽𝗼𝗹𝗶𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗴𝘂𝗶𝗻𝗲́𝗲𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗮𝘁𝗿𝗶𝗺𝗼𝗶𝗻𝗲. 𝗨𝗻 𝗷𝗼𝘂𝗿, 𝗶𝗹𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿𝗿𝗮𝗶𝗲𝗻𝘁 𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗮𝗺𝗲𝗻𝗲́𝘀 𝗮̀ 𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗽𝘁𝗲. 𝗟𝗮 𝗖𝗥𝗜𝗘𝗙 𝗾𝘂𝗶 𝗲𝘀𝘁 𝗺𝗮𝗻𝗶𝗽𝘂𝗹𝗲́𝗲 𝗮𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝗱’𝗵𝘂𝗶 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗮𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗮̀ 𝗲́𝗹𝗶𝗺𝗶𝗻𝗲𝗿 𝘀𝗲𝗿𝗮 𝗹𝗮̀ 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗴𝗼𝗿𝗴𝗲 𝗮̀ 𝘁𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝘃𝗼𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲́𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲. 𝗖𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗖𝗥𝗜𝗘𝗙 𝗻𝗲 𝘀𝗲𝗿𝗮 𝗯𝗶𝗲𝗻 𝗲𝗻𝘁𝗲𝗻𝗱𝘂 𝗽𝗮𝘀, 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘀𝗮 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗼𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗹𝗮 𝗺𝗲̂𝗺𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗔𝗹𝘆 𝗧𝗼𝘂𝗿𝗲́. 𝗠𝗮𝗶𝘀 𝘂𝗻𝗲 𝗖𝗥𝗜𝗘𝗙 𝗾𝘂𝗶 𝗳𝗲𝗿𝗮 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗵𝗼𝘀𝗲𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗿𝗲̀𝗴𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗿𝘁. 𝗘𝗻 𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝘁, 𝗠𝗮𝗺𝗮𝗱𝗶 𝗗𝗼𝘂𝗺𝗯𝗼𝘂𝘆𝗮 𝗲𝘁 𝘀𝗮 𝗯𝗮𝗻𝗱𝗲 𝗽𝗲𝘂𝘃𝗲𝗻𝘁 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗶𝗻𝘂𝗲𝗿 𝗮̀ 𝘃𝗼𝗹𝗲𝗿, 𝗮̀ 𝘃𝗼𝗹𝗲𝗿 𝗲𝘁 𝗮̀ 𝘃𝗼𝗹𝗲𝗿 𝗲𝗻𝗰𝗼𝗿𝗲, 𝗲𝗻 𝗲𝘀𝗽𝗲́𝗿𝗮𝗻𝘁 𝘀’𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗺𝗶𝘀 𝗮̀ 𝗹’𝗮𝗯𝗿𝗶 𝗱𝘂 𝗿𝗲𝘁𝗼𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗯𝗮̂𝘁𝗼𝗻.

𝗦𝗘𝗞𝗢𝗨 𝗞𝗢𝗨𝗡𝗗𝗢𝗨𝗡𝗢, 𝗥𝗘𝗦𝗣𝗢𝗡𝗦𝗔𝗕𝗟𝗘 𝗗𝗘𝗦 𝗦𝗧𝗥𝗔𝗧𝗘́𝗚𝗜𝗘𝗦 𝗘𝗧 𝗣𝗟𝗔𝗡𝗜𝗙𝗜𝗖𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 𝗗𝗨 𝗙𝗡𝗗𝗖