Le chien aboie, La caravane de Cellou et de l’UFDG passe ! [CRAS-CDD]

L’ UFDG, qui ne plie pas et ne peut rompre, demeure une citadelle imprenable. Son leader, qui ne faiblit pas, ne flanche pas, au contraire, renforce chaque fois son assise populaire et n’en finit pas de tisser sa toile à travers le pays, se situe nettement au-dessus de la mêlée. Quoi qu’on fasse comme débauche d’énergie, quels que soient les moyens déployés, les invectives lancées, çà et là, les campagnes de calomnie, tous azimuts, on ne peut atteindre l’UFDG, inquiéter El hadj Cellou Dalein Diallo qui en tient le gouvernail.

 

Ce n’est pas la série de galimatias de cellules mafieuses ou les élucubrations d’un bouffon, en mal de publicité et de reconnaissance qui vont distraire du débat fondamental sur le retour à l’ordre constitutionnel donc de la fin tant redoutée du régime de transition par ceux qui en ont fait leur vache laitière et une sinécure. Cellou Dalein Diallo qui n’est pas un « batoula », une canaille ni une lopette, aspire comme tous les Guinéens responsables, conscients, patriotes à l’organisation des élections dans le respect du calendrier librement consenti par les autorités et dans la transparence et l’équité requises. Il ne compte pas sur la force, les armes, la ruse, le parjure, la traîtrise pour arriver au pouvoir ou s’y maintenir. Contrairement à ceux qui essayent de se mesurer à lui ou lui envient son destin, il n’est pas homme qui change de langage et varie dans ses convictions selon ses intérêts, ou qu’il soit aux affaires ou milite dans un parti politique. En clair, Il n’a pas le  » destin de la feuille morte », qu’aucun homme d’honneur ne souhaite connaître.

 

Paradoxalement, pour emprunter l’expression d’Éric Zemmour à propos de Marion Maréchal, celui qui a battu le  » record du monde de la trahison  » et de l’incohérence aussi , veut donner à l’UFDG des leçons d’éthique, de responsabilité et de constance. Celui qui est à l’aise, en éprouve même une grande fierté, d’appartenir à un régime issu d’un coup d’Etat sanglant, qui n’a pas donc de base légale ni onction démocratique , s’indigne de propos critiques d’un leader politique, dénonce des appels à manifester pacifiquement qui seraient de nature à  » discréditer  » le pays et dont la finalité serait une déstabilisation des institutions. De l’ironie, au mieux, si non, une bêtise de parler de l’égalité sous un régime militaire, d’institutions lorsqu’il n’y a pas un État de Droit et qu’on n’est pas en République. L’inversion des valeurs dans la société, la pyramide renversée dans la gestion de l’Etat et la vie de l’administration n’imposent plus aucune limite dans les discours officiels ni les prétentions des uns et des autres, mais de grâce…

 

Par ailleurs, l’opinion qui n’est pas dupe, est loin d’avoir la mémoire courte sait en Guinée, ces dernières années et maintenant encore qui se comporte en délinquant politique indécrottable et qui n’a jamais cessé d’être un homme d’Etat pur et dur, au point de paraître trop conciliant et accommodant et d’être accusé parfois d’être faible. Au demeurant, il arrive qu’on règne par la force et s’impose dans la violence mais jamais on a survécu aux mensonges et à la manipulation ni prospéré dans les impostures. Rendez-vous dans l’avenir, la vérité viendra de l’expression du peuple, dans la rue ou les urnes. Chacun finira par revenir à sa place naturelle et véritable, par la force des événements ou la volonté du peuple qui est d’inspiration divine : vox populi vox Dei. Conakry le 20 juin 2024

 

Cellule de Riposte des Amis et Soutiens de Cellou Dalein Diallo (CRAS-CDD).

 

 

Farafinainfo à l’honneur : Le journaliste Chahreddine Berriah, lauréat