Nous espérons que les journalistes interpellés seront très rapidement relâchés… (Sayon Mara)

Attention ! En cette période charnière de l’histoire de notre patrimoine commun, les autorités devraient éviter de mettre la plume et le micro sur leur dos, au risque d’avoir trop d’équations à résoudre à la fois. Quand on gère la chose publique, il faut s’attendre aux chatouillements de la presse.

Bref, comme le disait un jour le journaliste Roger de Diesbach, « la presse est le baromètre de la démocratie. »

Nous espérons que les journalistes interpellés seront très rapidement relâchés, les blessés pris en charge par l’Etat

Sayon Mara, Juriste