Les violences déclenchées par Alpha Condé pour faire passer son coup d’état électoral continuent de faire des victimes, notamment dans les rangs de l’UFDG.
Après m’avoir séquestré à mon domicile, fait occuper par l’Armée mes bureaux et le siège de mon Parti et fait tuer par balles 48 personnes, le tyran a décidé de décapiter mon Parti en se livrant à l’arrestation de ses dirigeants.
Chérif Bah, Ousmane Gaoual Diallo, Cellou Baldé, Abdoulaye Bah ainsi qu’Etienne Soropogui et Sékou Koundouno sont aujourd’hui dans le collimateur de Alpha Condé qui a déjà actionné sa justice à cet effet. Et le motif est vite trouvé. Ils sont accusés par le Procureur de proférer des menaces de nature à troubler la sécurité et l’ordre public alors que les 48 morts des violences post-électorales et les 99 morts du FNDC n’ont encore suscité aucune réaction de la part de notre Procureur.
Quelle honte!
Cellou Dalein Diallo, Président UFDG (Union des Démocratiques de Guinée)